Depuis 2002 la commune de Barbâtre avait signée une convention relative à la prise en charge des dépenses de fonctionnement des enfants de la commune, fréquentant l'école privée Notre Dame à Barbâtre.
Cette convention avait été signée par Madame Laurent Maire et reprise dans son intégralité par le Maire Gérard Guillet et son équipe, accordant une somme de 771 euros par élève pour l'année scolaire 2012- 2013.
Mr Modot et sa 1ère Ajointe ont décidé de passer le forfait à 282 euros à partir du 1er septembre 2013, alors que la moyenne sur l'ensemble de l'ile et du département est d'environ 600 euros. De plus il a été décidé de ne plus prendre en compte les élèves de maternelle. Il est bien évident que cette décision aura des incidences sur le budget des familles. Ces mêmes familles qui sont aujourd'hui pénalisées par la fermeture de l'école de Barbâtre, se voient infliger une double peine, cette fois financière.Le choix de l'école n'est plus un choix moral, mais bien un choix financier, l' enfant devient une marchandise et la sélection se fait par l'argent. Cette démarche ne nous paraît pas bonne. Réduire les moyens alloués à l'éducation de nos enfants c'est insulter l'avenir et sacrifier nos jeunes. A un moment de grandes difficultés, il faut au contraire, parier sur nos jeunes et construire l'union plutôt qu'agir dans la division en sanctionnant le choix que font certains parents et qui doit leur appartenir. La France a besoin de s'unir et non de se diviser.
Cette convention avait été signée par Madame Laurent Maire et reprise dans son intégralité par le Maire Gérard Guillet et son équipe, accordant une somme de 771 euros par élève pour l'année scolaire 2012- 2013.
Mr Modot et sa 1ère Ajointe ont décidé de passer le forfait à 282 euros à partir du 1er septembre 2013, alors que la moyenne sur l'ensemble de l'ile et du département est d'environ 600 euros. De plus il a été décidé de ne plus prendre en compte les élèves de maternelle. Il est bien évident que cette décision aura des incidences sur le budget des familles. Ces mêmes familles qui sont aujourd'hui pénalisées par la fermeture de l'école de Barbâtre, se voient infliger une double peine, cette fois financière.Le choix de l'école n'est plus un choix moral, mais bien un choix financier, l' enfant devient une marchandise et la sélection se fait par l'argent. Cette démarche ne nous paraît pas bonne. Réduire les moyens alloués à l'éducation de nos enfants c'est insulter l'avenir et sacrifier nos jeunes. A un moment de grandes difficultés, il faut au contraire, parier sur nos jeunes et construire l'union plutôt qu'agir dans la division en sanctionnant le choix que font certains parents et qui doit leur appartenir. La France a besoin de s'unir et non de se diviser.